Novobiom en a fait sa mission, avec une approche radicalement différente : s’appuyer sur l’intelligence du vivant pour réinventer la dépollution.

 

Spécialiste des technologies fongiques, Novobiom développe des solutions régénératives bas carbone capables de dégrader des polluants industriels persistants — hydrocarbures, solvants, PFAS — grâce à plus de 300 souches de champignons sélectionnées et optimisées par l’IA au travers de digital twins pour adapter chaque traitement au contexte du site contaminé.

 

Leur approche : la #mycorémédiation.

En combinant décontamination par champignons et valorisation de déchets verts, Novobiom transforme deux problèmes — pollution des sols et gestion des biodéchets — en une solution circulaire, locale et durable.

 

✔️ Les champignons digèrent les polluants les plus complexes tout en réduisant les coûts de réhabilitation

 

✔️ Les déchets verts urbains deviennent un substrat utile pour nourrir les champignons

 

✔️ La terre est régénérée, les volumes incinérés ou enfouis sont réduits, en permettant de nouveaux développements dans les zones sous pression urbaine

 

Et ce n’est pas qu’une promesse.
Des résultats concrets ont été obtenus en Wallonie dans le cadre du projet européen LIFE MySOIL, et la technologie est déjà validée à l’échelle industrielle.

 

 

Mieux encore : Novobiom va plus loin en collaborant avec Imean Biotech sur l’upcycling de déchets textiles pour produire du cuir végétal, du biogaz ou encore des ingrédients pour les cosmétiques — avec des partenaires comme L’Oréal.

 

En 2024, la startup a levé 3,5 millions d’euros pour accélérer l’industrialisation et son déploiement international. Soutenue par des investisseurs climat et finaliste du Ray of Hope Prize, elle confirme son rôle de pionnière dans la dépollution par phytoépuration.

 

Pas de chimie lourde. Pas de solutions énergivores. Juste la puissance des champignons, guidée par la science.  🍄➕🍄 = 🌱

 

👉 Une belle illustration de comment une innovation Biotech peut démultiplier les opportunités d’une économie régénérative pour traiter des sols fortement pollués, mais aussi produire des ressources utiles et même à haute valeur ajoutée comme des biosurfactants.

 

Novobiom est l’un des plus de 1000 cas d’écoles analysés par Act4Global Impact.

 

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